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La gestion intégrée des adventices permet de contrôler efficacement les mauvaises herbes dans le blé, même dans le cas d’un travail du sol réduit et d’une utilisation modérée d'herbicides, et d'éviter ainsi les pertes de rendement.

Selon la source Ésane, les 21 600 entreprises des industries agroalimentaires (IAA 1), dont 85 % de micro-entreprises, réalisent en 2022 un chiffre d’affaires hors taxes de 237 milliards d’euros. C’est 14 % de plus qu’en 2021. Cette augmentation est quasi identique à celle de l’ensemble de l’industrie manufacturière (+15 %). Les IAA constituent un secteur important en termes d’emplois, avec 470 200 salariés, dont plus de 160 000 dans les 24 grandes entreprises (cf dénitions). Le secteur est en effet très concentré, ces grandes entreprises réalisant 44 % du chiffre d’affaires et 41 % de la valeur ajoutée. Si on y rajoute les 357 entreprises de taille intermédiaire, ces parts passent respectivement à 86 % et 84 %.

Générations Futures révèle, dans un rapport exclusif publié ce jour, une surveillance de l’eau très insuffisante et une sous-estimation importante de la

Visant d'abord à améliorer les sols et les rendements, la méthode approfondissement partiel de la couche arable a été développée en RDA dans les années 1950. Elle fait aujourd'hui son retour avec un projet conjoint du centre allemand ZALF et à l'équipementier Lemken. Les premiers résultats mettent en évidence un gain de productivité non-négligeable, associé à un bon bilan climatique.

La gestion des adventices et la préservation de la biodiversité sont souvent perçues comme des objectifs contradictoires. Comment les concilier sans avoir à subir de fortes pertes de rendement ? En Allemagne, de nouvelles études apportent une réponse nuancée à la question.

Encore controversés, ces systèmes présentent une grande flexibilité d’usage dans différents contextes agricoles, avec un rendement combiné non négligeable. Quelques données en images.

Face à la grande diversité des producteurs d'oléoprotéagineux, Pluriagri a réalisé une étude sur le profil économique des exploitations à partir des résultats des excédents bruts d’exploitation par actif non salarié....

Capteurs, drones, satellites : en observant le sol sous toutes ses coutures, on peut mieux le comprendre, et ainsi protéger cette ressource essentielle à l’agriculture et la biodiversité.

L'enquête Teruti a pour objectif de suivre l’évolution de l’occupation et de l’usage des sols sur tout le territoire national

Si la question de la mobilisation énergétique de la biomasse demeure une question sensible, elle ne peut pour autant être ignorée : l’atteinte de la « neutralité carbone » en 2050 suppose en effet d’abandonner l’usage des énergies fossiles et de recourir uniquement à des sources d’énergies décarbonées. Afin d’éclairer le débat et de guider les arbitrages à réaliser en ce qui concerne la mobilisation de la biomasse, Solagro a réalisé une étude composée d'une publication et d'un jeu de fiches (14 fiches « Ressources » et 12 fiches « Filières de valorisation ») qui explorent les caractéristiques des filières permettant de valoriser les différentes ressources de biomasse au niveau national.

La revue INRAE Productions Animales a consacré son numéro de septembre 2024 à l’élevage en agriculture biologique (AB). Quinze années après le dernier numéro spécial consacré à ce sujet, l’AB a connu une croissance majeure

La France, reconnue à l’international pour son vin, issu de ses 800 000 hectares de vignobles, est dynamiques en matière de formations viti-vinicoles qui ont su s’adapter aux évolutions du secteur et aux défis de l’avenir tout en s’ouvrant à l’international.

La pulvérisation de précision : un levier pour réduire les coûts en agriculture - %

La certification environnementale des exploitations agricoles répond au besoin de reconnaître les exploitations engagées dans des pratiques particulièrement respectueuses de l’environnement.

La France s’est engagée à réduire de moitié le gaspillage alimentaire d’ici 2025. Pour y arriver, tous les acteurs doivent être mobilisés, du champ à l’assiette. C'est le principe des RÉGAL, pour RÉseaux de lutte contre le Gaspillage Alimentaire, qui se développent de plus en plus en régions.

Cadre méthodologique

Les néonicotinoïdes ont longtemps été utilisés pour lutter contre les pucerons dans les cultures. L’utilisation répétée de ces substances actives a abouti à la sélection d‘insectes capables d’y

L'épeautre (Triticum aestivum ssp. spelta) est de plus en plus demandé par les consommateurs et les boulangers. En reliant les caractéristiques phénotypiques à l'information génétique sous-jacente de chaque variété, ces résultats peuvent aider à mieux catégoriser les variétés d'épeautre en Suisse.

Retrouvez les données de la production française de plantes à massif, de plantes en pot et de fleurs coupées.

La diversité des systèmes d'élevage de ruminants en France, tant entre les différentes filières qu'au sein d'une même filière, est fréquemment soulignée par les scientifiques et les professionnels de l'élevage. Définir un modèle d’élevage de ruminants implique de souligner les points communs entre la majorité des systèmes d’élevage.

Les premiers foyers de maladie hémorragique épizootique (MHE) ont été déclarés en France en septembre 2023 dans des élevages de bovins du sud-ouest. Cette maladie infectieuse due à un virus est transmise exclusivement par des moucherons du genre Culicoïdes, les mêmes que ceux de la fièvre catarrhale ovine (FCO).

Retrouvez dans cet article la situation épidémiologique d'influenza aviaire en France.

Encore controversés, ces systèmes présentent une grande flexibilité d’usage dans différents contextes agricoles, avec un rendement combiné non négligeable. Quelques données en images.

Les alpages sont une source de fourrage, stockent le CO2, nourrissent les pollinisateurs, abritent d’innombrables plantes et nous enchantent par leur beauté. Des bienfaits qui dépendent cependant du site et du climat, mais aussi des vaches.

En France métropolitaine, 130 200 femmes sont à la tête d’une exploitation agricole en 2020 ; elles représentent 26 % de l’ensemble des exploitants. Près d’une exploitation sur cinq est dirigée uniquement par des femmes. Dans les trois quarts des cas, il s’agit de petites ou très petites exploitations. Les femmes exploitantes sont présentes dans toutes les productions, mais particulièrement dans certaines filières d’élevage (équidés, ovins-caprins) et en viticulture. Elles deviennent cheffes plus tardivement en moyenne (40 % le sont devenues après 40 ans), parfois à l’occasion du départ en retraite de leur conjoint. Les jeunes exploitantes sont davantage formées que leurs aînées. Elles sont aussi plus souvent en couple avec un homme qui travaille sur une exploitation agricole.

Les surfaces de céréales, notamment le blé et le maïs, sont orientées à la baisse depuis dix ans, avec une forte variabilité selon les années et des surfaces en blé particulièrement faibles en 2024. Certaines céréales (orge, triticale, sorgho…) connaissent néanmoins des dynamiques à la hausse. Ce recul global des céréales est compensé en partie par la progression des oléagineux (colza, tournesol), des protéines végétales et d’autres grandes cultures (pommes de terre par exemple). Des évolutions analogues s’observent dans les autres pays céréaliers de l’Union européenne.

Les 1 214 scieries de France métropolitaine se distinguent par une forte spécialisation de leur production selon l’essence d’arbres qu’elles travaillent (feuillus, pin maritime ou autres conifères), et par des modèles économiques spécifiques. Les scieries spécialisées en feuillus sont de petite taille, alors que la production de conifères est davantage concentrée dans de grandes scieries. Pour toutes les essences, la majorité de la production est assurée par des scieries ayant également une activité d’exploitant forestier, même si ces dernières restent minoritaires parmi les scieries travaillant les conifères.