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Lors de ce colloque, qui s’est déroulé du 7 au 9 novembre à Versailles, Terres Inovia a pu présenter quelques travaux de son Département de transformation et de valorisation des graines.

Le nématode cécidogène des racines Meloidogyne incognita cause des dégâts non seulement dans les cultures en plein champ, mais aussi sous serre. Les chercheuses et chercheurs d'Agroscope ont développé un nouveau test de dépistage pour identifier les bactéries capables de lutter contre ces ravageurs.

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Boîte à outils multifonctionnelle qui apporte infos, réseaux et appui technique aux acteurs de la Trame verte et bleue.

L’Espagne est le 2e détenteur de vaches allaitantes en UE-27, derrière la France. A contre-courant de la plupart des États membres, la production de viande bovine espagnole n’a cessé de croître entre 2012 et 2022, via la hausse du cheptel allaitant et de l’import de jeunes veaux laitiers (530 000 têtes en 2022, dont 68% de France). L’Espagne est particulièrement compétitive sur le marché européen. Ce Dossier Économie de l’Élevage vise à présenter le mode de fonctionnement simplifié et particulièrement optimisé de la filière viande bovine ibérique.

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La production de tournesol atteint 2,1 millions de tonnes (Mt) en 2023, avec un rendement à 25,8 q/ha, et celle de soja est de 0,44 Mt, avec un rendement à 27,1 q/ha. Le rendement du maïs grain (hors semences) est de 98,5 q/ha en 2023, portant la production à 12,2 Mt, en hausse par rapport à la très faible récolte 2022. La production de pommes de terre de conservation et demi-saison, à 7,1 Mt, est en nette hausse par rapport à 2022 (+17,4 %), qui avait connu un rendement faible. En revanche, la production de betteraves industrielles, estimée à 31,3 Mt, est légèrement inférieure à 2022 (31,5 Mt), malgré un rendement en hausse (82,7 t/ha en 2023, soit +5,4 %). Le retour des pluies depuis la mioctobre retarde les dernières récoltes de maïs et ralentit les arrachages des tubercules.

En 2020, 50 000 exploitations ayant au moins 10 vaches laitières élèvent un total de 3,5 millions de vaches. Malgré la réduction du nombre d’exploitations d’un tiers en dix ans, le cheptel ne baisse que de 6 %, la taille moyenne des troupeaux augmentant de vingt têtes. Les grands troupeaux, d’au moins 100 vaches, se généralisent ; ils détiennent plus du tiers des vaches laitières. La taille économique des élevages augmente. La concentration est aussi géographique, dans le croissant laitier. Les exploitations choisissent plus fréquemment les formes sociétaires. L’emploi se réduit d’un quart tandis que les livraisons de lait augmentent de 5 %. Le travail reste majoritairement familial mais le salariat progresse. Neuf vaches sur dix pâturent, mais cette pratique est en léger repli, tout comme, en zone de montagne, l’utilisation des estives. En plus de l’herbe, le maïs fourrage est également beaucoup employé dans l’alimentation des bovins. Très autonomes en fourrages, les élevages laitiers le sont beaucoup moins en concentrés. Les élevages bio, de plus petite taille, se caractérisent par une conduite plus extensive. Ils transforment davantage le lait à la ferme et sont plus nombreux à commercialiser leurs produits en circuit court. Les femmes, déjà peu nombreuses dans l’agriculture, où elles représentent un quart des exploitants, le sont encore moins en élevage laitier. La moyenne d’âge des exploitants laitiers est près de quatre ans inférieure à la moyenne nationale.

Dans le cadre d’une étude financée par le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, les bureaux d'étude CERESCO et Arcadia International ont analysé la gouvernance qui pourrait être mise en place afin d’anticiper les retraits de substances phytopharmaceutiques

La maladie hémorragique épizootique (MHE) est une maladie virale qui a été détectée pour la première fois en France en 2023. Sa propagation est une conséquence directe du changement climatique, qui

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Le mode d’emploi du pâturage du sorgho fourrager par les brebis

En 2023, la production française d’abricots baisserait de 3 % sur un an tandis qu’elle resterait quasiment stable pour les pêches-nectarines. Elle se replierait davantage pour la cerise. L’année est marquée par une nette reprise des exportations d’abricots par rapport à 2022 (+ 87 %). Ces dernières augmentent plus modestement pour la pêche, tandis qu’elles reculent pour la cerise. Après un début de campagne relativement fluide, succède un marché tendu défavorable aux prix à la production de l’abricot et de la pêche. Seuls les prix de la cerise augmentent, permettant au chiffre d’affaires à la production de ce fruit de progresser sur un an.

En 2022-2023, dans un contexte de poursuite de la guerre en Ukraine, de baisse des récoltes céréalières mondiales, surtout de maïs, et de consommation soutenue, les cours mondiaux et français progressent par rapport à ceux du début de la campagne 2021-2022. Cependant, au premier semestre 2023 ils se détendent, sous l’effet de la forte présence des céréales russes, de la mise en place du corridor en mer Noire et de sa reconduction. Compte tenu d’une parité monétaire favorable, les cours français ont bénéficié d’une demande accrue de la part des pays autrefois approvisionnés par l’Ukraine. Le repli des prix du pétrole et les disponibilités mondiales abondantes en oléagineux ont pesé sur leurs cours. En 2023-2024, les productions de céréales et d’oléagineux sont attendues en hausse.

Découvrez quel est le rôle des oligo-éléments dans la santé des bovins et quels sont les facteurs de variation de leurs teneurs dans les fourrages prairiaux.

On trouve trois fois plus de carbone dans les sols que dans l'atmosphère. À l'heure du dérèglement climatique, les facultés de l'agriculture à stocker plus ou moins de carbone sont scrutées de très près.

Dans le cadre de leurs activités, les professionnels de l’agriculture et de l’agroalimentaire peuvent aider les plus démunis de différentes manières.

À l'heure où la reconquête de notre souveraineté alimentaire est une nécessité, les projets alimentaires territoriaux (PAT), créés il y a 6 ans, favorisent la relocalisation de l'agriculture et de l'alimentation dans les territoires en soutenant notamment l'installation d'agriculteurs, les circuits courts ou les produits locaux dans les cantines. Le plan France Relance vient amplifier cette dynamique en y consacrant des moyens inédits : près de 80 millions d'euros.

Remplacer les pièces d’usure sur le matériel de travail du sol représente un budget non négligeable pour les exploitations agricoles. L’offr...

Quelle est l’importance du secteur de l’insertion par l’activité économique en agriculture, paysage et agroalimentaire ? Comment contribue-t-il aux politiques publiques du MASA ? Est-il susceptible de répondre aux besoins de main-d’œuvre dans ces métiers ? Le CGAAER a établi un état des lieux et formulé des propositions visant à intensifier la contribution de ce secteur.

[Vidéo] Il ne se passe plus une journée sans que les prouesses ou les limites de ChatGPT ne fassent l’objet de commentaires dans les médias. Pour autant, l’Intelligence Artificielle (IA) ne date pas d’hier et ses applications sont déjà nombreuses, y compris dans le domaine...

L’objectif de ce séminaire : apporter une connaissance plus fine du potentiel de réduction de l’empreinte carbone agricole, de la parcelle au territoire, pour créer une dynamique favorable à un engagement de plus grande ampleur des agriculteurs. Pour l’illustrer, témoignages de Xavier Baudry de la Chambre d’Agriculture de l’Aube (Grand Est) et Florent Abiven de la Chambre d’Agriculture interdépartementale 17-79 (Nouvelle-Aquitaine). Actuels utilisateurs, ils animent chacun un déploiement ABC’Terre en parallèle d’un accompagnement individuel des agriculteurs.

L’enquête sur les pratiques culturales des viticulteurs en 2019 (campagne 2018/2019) s’inscrit dans le dispositif plus large des enquêtes sur les « Pratiques culturales », outil majeur de description des itinéraires techniques des agriculteurs. Elle succède aux enquêtes sur les pratiques culturales en viticulture en 2006 et 2013, et aux enquêtes 2010 et 2016 centrées sur les traitements phytosanitaires.