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En période de sécheresse, des éleveurs commencent à faire la feuille pour leurs brebis à partir du 15 août. Retour d’expérience.

En France, des projets d’abattoirs alternatifs essaiment, portés par des collectifs d’éleveurs et éleveuses résolus à s’affranchir des abattoirs conventionnels.

La viande cultivée reste produite à petite échelle, pour un bilan environnemental encore incertain mais potentiellement prometteur. Les États-Unis envoient toutefois un signal aux investisseurs.

La production de semences de tomates est un cas particulier, car l’extraction des graines de la pulpe nécessite une fermentation préalable. Afin d'optimiser ce processus, le FiBL a testé différentes fréquences de récolte, stades d’extraction et le stockage au frais.

Que faire des stocks de laine et de peaux lainées qui s’accumulent sur les exploitations ovines et chez les négociant ? Le CGAAER a tenté d’apporter une réponse au travers d’une mission de conseil.

En 2007, lors du Grenelle de l’Environnement, Lionel Vilain négociait pour France Nature Environnement (FNE) au sein du comité opérationnel qui devait définir les contours du label « Haute Valeur Environnementale (HVE) ». Les débats et contestations y furent très vifs. Ils ne le sont pas moins aujourd’hui dans la sphère publique : un collectif d’associations et le Synabio viennent de saisir le

En 2022, la production agricole en valeur augmente de 16,6 % dans un contexte mondial de renchérissement de l’énergie et des matières premières et agricoles. Les conditions météorologiques

Le système agricole français n'est pas adapté aux crises climatiques et économiques, alerte le Réseau Action Climat. La solution : une transition vers l'agroécologie, modèle plus vertueux.

Cette note présente les connaissances actuelles sur la restauration collective et documente les taux d'approvisionnement en produits durables et de qualité.

Le cabinet de conseil et laboratoire d'idées Utopies a effectué le premier classement de l'empreinte carbone des régions françaises, grâce à son outil d'analyse du métabolisme territorial Locanomics. Celui-ci prend en compte les émissions importées, ...

CANARI-France est un portail web en accès libre destiné aux acteurs agricoles souhaitant calculer directement en ligne, simplement et rapidement, des indicateurs agro-climatiques locaux à partir de projections climatiques. Ces indicateurs sont construits à partir de plusieurs modèles climatiques afin d'illustrer les changements possibles d'ici à 2050.

Le projet AGLAE (les Agriculteurs partaGent Leurs pratiques AgroÉcologiques) a pour objectif de créer un référentiel de pratiques agroécologiques innovantes en Grande Culture Polyculture Elevage (GCPE), Viticulture et Arboriculture, qualifiées par des experts et basées sur des retours d’expériences identifiés localement chez les agriculteurs de la région Occitanie.

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Par Samy Belaid, Professeur, EM Normandie Business School ; René-Pierre Beylier, Enseignant-chercheur en Sciences de gestion, Universités d’Avignon et de Montpellier ; Jérôme Lacœuilhe, Professeur, Université Paris-Est Créteil et IUT Sénart-Fontainebleau. Quelle peut être la valorisation des produits dits « de terroir » dans une économie postmoderne et mondialisée ? Quels paradoxes soulève leur succès, celui d’objets patrimoniaux comme les AOC, ou de produits du

Le projet CASDAR Recherche Technologique HARPAGON a pour objectif de tester de nouvelles règles de pilotage des aliments concentrés distribués en complément des fourrages chez la vache laitière. Pour cela, il développera un concept d’alimentation de précision s’appuyant sur des données issues de technologies déjà présentes en élevage (compteurs à lait, distributeur automatique de concentrés, stalle de pesée). Ce concept permettra ainsi d’optimiser l’alimentation de chaque individu dans le troupeau, en tenant compte de la réaction de chaque vache à une baisse ou hausse de l’apport en concentré.

Adapter l’élevage au changement climatique nécessite d’établir un état des lieux de son impact sur les performances des animaux. Cette étude comparative a montré que lorsque l’index Température-Humidité (ou THI) augmente, une baisse générale des performances est observée sur les troupeaux français, espagnols et néerlandais.

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“Les plantes ne poussent pas par hasard”, “si elles sont présentes ici c'est qu'elles s'y plaisent”, “elles nous indiquent quelque chose”, et “elles poussent pour corriger des déséquilibres” engendrés par…

Alors que l'ACS a trouvé un écho dans les fermes il y a plus de 35 ans et que la revue TCS aura bientôt 25 ans, pourquoi ces approches ne sont-elles pas encore la forme dominante d'agriculture au…

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Cette nouvelle édition du Baromètre Lieux d’achat et Modes de vente dévoile les évolutions sur les fréquences et les comportements d’achat, la sensibilité aux composantes du rayon tout comme les attentes face au rayon fruits et légumes. Il précise également les lieux d’achat fréquentés, les priorités d’achat ainsi que les modes de vente pratiqués et préférés. L’édition précédente avait été publiée en 2014.La crise sanitaire, économique et sociale associée aux restrictions (confinement, fermetures des restaurants/cafés…) imposées en 2020 et 2021 a changé certaines habitudes d’achat et de consommation alimentaire, y compris pour les fruits et légumes frais. Le retour de l’inflation dès fin 2021, accentuée par les tensions géopolitiques à partir de 2022, a également impacté les comportements d’achats des ménages. Cette édition est enrichie d’un focus sur la période post-crise sanitaire. Elle évalue l’impact de cette crise sur les comportements d’achat et de consommation de fruits et légumes à moyen-long terme : nouvelles attentes des consommateurs, influence du confinement du printemps 2020 et de la nouvelle situation économique et sociale sur les modalités et lieux d’achat, les nouveaux arbitrages, les contraintes et les choix.

Les résultats de recherche, proposés dans ce dossier de l'IFV, montrent tout l’intérêt des pratiques de l’enherbement, des couverts végétaux et des apports d’amendements organiques sur la gestion durable des sols viticoles.

La Statistique agricole annuelle (SAA) est une opération de synthèse annuelle sur les productions agricoles françaises. Elle fournit chaque année des données sur l’ensemble des productions agricoles en termes physiques (surfaces, rendements et productions agricoles pour les végétaux et les animaux) détaillées par produit et par région et département. La SAA existe depuis 1947 et permet à la France de répondre au règlement européen UE 543/2009 du 18 juin 2009. Les données sont également utilisées pour d’autres opérations statistiques. Elles servent de points de base auxquels sont appliqués ensuite des évolutions conjoncturelles pour obtenir des estimations précoces et sont utilisées pour établir les comptes, nationaux et régionaux, de l’agriculture (également en réponse aux obligations européennes - règlement UE 549/2013 du 21 mai 2013).

La pression phytosanitaire en agriculture peut être évaluée à partir de la quantité de substances actives appliquée lors d’une campagne donnée. En arboriculture, la quantité moyenne de substances actives appliquée par hectare baisse de 15 % entre 2012 et 2018. Au sein de ces substances actives, la quantité de celles issues de produits de biocontrôle augmente de 15 % sur la même période. Dans le même temps, les quantités appliquées de substances actives classées CMR (cancérigènes, mutagènes ou toxiques pour la reproduction) et potentiellement perturbatrices endocriniennes diminuent respectivement de 29 % et 25 %. Ces évolutions s’expliquent notamment par le retrait sur le marché d’un certain nombre de produits particulièrement toxiques pour la santé et par l’augmentation de l’utilisation des produits de biocontrôle.

La mise en place de cultures de printemps a pour objectif principal d’abaisser la pression des vulpins et des ray-grass dans les parcelles de la

Dans une récente note, le Think Tank propose plusieurs évolutions du bail à ferme à intégrer dans le cadre du Pacte et de la loi d’orientation et d’avenir agricoles. ...

Semer les couverts à la volée avant ou pendant la récolte d’une céréale à paille a pour objectif d’implanter le couvert précocement et, si p...

Bien qu’elle représente actuellement à peine 3 % de la production d’électricité française, la filière photovoltaïque est amenée à se développer fortement dans les prochaines années, puisque les centrales solaires au sol vont y jouer un rôle important. Néanmoins, leur implantation devra être encadrée pour ne pas impacter négativement la biodiversité et les sols. C’est l’objet du récent guide élaboré par l’Office français de la biodiversité et l’ADEME.