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Le grand Meaulnes d'Alain Fournier | MédiaBox
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Résumé : À la fin du XIXe siècle, par un froid dimanche de novembre, un garçon de quinze ans, François Seurel, qui habite auprès de ses parents instituteurs une longue maison rouge - l'école du village -, attend la venue d'Augustin que sa mère a décidé de mettre ici en pension pour qu'il suive le cours supérieur : l'arrivée du grand Meaulnes à Sainte-Agathe va bouleverser l''enfance finissante de François.
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Contes merveilleus d’Andersen | MédiaBox
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Librairie Hachette et Cie, 1876.L’Intrépide Soldat de plomb, Les Habits neufs du Grand-Duc, La Bergère et le Ramoneur, Le Briquet, L’Ange, Petit Claus et grand Claus, La Princesse sur un pois, Le jardin du Paradis, La Grosse aiguille, Les Fleurs de la petite Ida, Le Compagnon de voyage, La Petite fille et les allumettes, La Vieille maison, L’Ombre, Le Coffre volant, La Pâquerette, Une semaine du petit elfe Ferme-L’Œil, La petite Poucette, La petite Sirène, Le vilain petit Canard, Les Cygnes sauvages, Le Rossignol et Le Chanvre
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Le comte de Monte-Cristo d'Alexandre Dumas | MédiaBox
Le comte de Monte-Cristo d'Alexandre Dumas | MédiaBox
Résumé : Edmond Dantès, victime d''une dénonciation calomnieuse alors qu'il allait épouser la belle Mercédès, est enfermé pour 14 ans dans un sinistre cachot du château d'If en rade de Marseille. Son salut viendra de l'abbé Faria, un autre prisonnier avec lequel il entretient une amitié clandestine des années durant. Celui-ci lui transmet sa vaste culture et à sa mort, un trésor caché... Extrait : « Je ne tirerai rien de ces niais-là, murmura-t-il, et j'ai grand-peur d'être ici entre un ivrogne et un poltron : voici un envieux qui se grise avec du vin, tandis qu'il devrait s'enivrer de fiel ; voici un grand imbécile à qui on vient de prendre sa maîtresse sous son nez et qui se contente de pleurer et de se plaindre comme un enfant. Et cependant, cela vous a des yeux flamboyants comme ces Espagnols, ces Siciliens et ces Calabrais, qui se vengent si bien ; cela vous a des poings à écraser une tête de boeuf aussi sûrement que le ferait la masse d'un boucher. Décidément, le destin d'Edmond l''emporte ; il épousera la belle fille, il sera capitaine et se moquera de nous ; à moins que ...
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Les Trois Yeux de Maurice Leblanc | MédiaBox
Les Trois Yeux de Maurice Leblanc | MédiaBox
Résumé : Maurice Leblanc, père d'Arsène Lupin, a imaginé dans Les Trois Yeux une de ses plus curieuses histoires fantastiques. Rayon B... Berge... La mort n'a pas permis au savant Noël Dorgeroux d'achever son message. Voulait-il révéler la formule de sa découverte ou le nom de son meurtrier ? Mais certains veulent s'approprier le Rayon B, croyant, par ce moyen, faire fortune. C'est qu'ils ignorent l'étrange pouvoir des trois yeux...
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Les grandes dates de l'histoire de France Pour Les Nuls | MédiaBox
Les grandes dates de l'histoire de France Pour Les Nuls | MédiaBox
Résumé: Avec les Nuls, tout devient facile !Découvrez les grandes dates de l'Histoire de France dans ce livre Pour Les Nuls inédit ! Les événements sont classés par ordre chronologique pour visualiser au mieux les grandes périodes de l'Histoire de France et être moins Nul.Par Jean-Joseph Julaud, l'auteur du best-seller L'Histoire de France Pour Les Nuls.
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Le petit chose d'Alphonse Daudet
Le petit chose d'Alphonse Daudet
Résumé : 'Le Petit Chose' paraît en feuilleton en 1867. Daudet s'inspire des souvenirs d'une jeunesse douloureuse : humiliations à l'école, mépris pour le petit provençal, expérience de répétiteur au collège et enfin coup de foudre pour une belle jeune femme. L'écrivain manifeste une tendresse, une pitié et un respect remarquables à l'égard des malchanceux et des déshérités de la vie.
Le petit chose d'Alphonse Daudet
Cinq semaines en ballon par Jules Verne | MédiaBox
Cinq semaines en ballon par Jules Verne | MédiaBox
RésuméSamuel Fergusson, savant et aventurier, projette d'apporter une contribution décisive à la connaissance de l'Afrique : il veut la traverser en ballon, d'est, depuis Zanzibar, en ouest, jusqu'au Sénégal. Il espère réussir grâce à l'invention d'un procédé lui donnant un contrôle absolu de la force ascensionnelle de son aérostat. Il entraîne dans son aventure Joe, son fidèle domestique, et un ami, Dick Kennedy, fameux chasseur écossais. C'est au milieu des manifestations d'effroi de l'obscurantisme indigène que le Victoria prend son essor, le 18 avril 1862...
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Autour de la Lune par Jules Verne | MédiaBox
Autour de la Lune par Jules Verne | MédiaBox
RésuméSuite du roman De la Terre à la Lune. Michel Ardan, Nicholl et Barbicane ont survécu à la terrible déflagration qui les a envoyés dans l'espace. Malgré la frayeur causée par un astéroïde qui manque de les pulvériser, ils fêtent dignement la réussite de leur départ. Cependant, les fantaisies de l'aventurier français n'empêchent pas l'esprit pratique et scientifique de ses compagnons américains de reprendre le dessus. Nicholl et Barbicane multiplient les observations les plus intéressantes sur la température de l'espace, la gravitation ou les effets de l'apesanteur. Mais ils constatent aussi que leur course a été déviée par leur rencontre avec le corps errant et qu'ils manqueront la Lune...
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Michel Strogoff par Jules Verne | MédiaBox
Michel Strogoff par Jules Verne | MédiaBox
RésuméMichel Strogoff est un roman de Jules Verne paru en 1875 écrit spécialement pour la visite du Tsar à Paris. Ce livre fut d'ailleurs approuvé par les autorités russes avant sa parution. Ce roman décrit le périple de Michel Strogoff, courrier du tsar de Russie, de Moscou à Irkoutsk, capitale de la Sibérie orientale. Sa mission est d'avertir le frère du tsar, sans nouvelles de Moscou, de l'arrivée imminente des hordes tartares menées par le traitre Ivan Ogareff pour envahir la Sibérie. Sur cette route pleine d'obstacles, il trouvera la belle Nadia, ainsi que les journalistes européens Harry Blount et Alcide Jolivet.
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Sapho d'Alphonse Daudet | MédiaBox
Sapho d'Alphonse Daudet | MédiaBox
Extrait : Elle connaissait les maisons où l’on avait à prix de fabrique une batterie de cuisine complète pour petit ménage, les quatre casseroles en fer, la cinquième émaillée pour le chocolat du matin ; jamais de cuivre, c’est trop long à nettoyer. Six couverts de métal avec la cuillère à potage et deux douzaines d’assiettes en faïence anglaise, solide et gaie, tout cela compté, préparé, emballé comme une dînette de poupée. Pour les draps, serviettes, linges de toilette et de table, elle connaissait un marchand, le représentant d’une grande fabrique de Roubaix, chez qui on payait à tant par mois ; et toujours à guetter les devantures, en quête de ces liquidations, de ces débris de naufrage que Paris amène continuellement dans l’écume de ses bords, elle découvrait au boulevard de Clichy l’occasion d’un lit superbe, presque neuf, et large à y coucher en rang les sept demoiselles de l’ogre.
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Rose et Ninette et autres histoires d'Alphonse Daudet | MédiaBox
Rose et Ninette et autres histoires d'Alphonse Daudet | MédiaBox
Extrait : Et maintenant, dans l'angoisse de l''attente, il se demandait si bien réellement elles viendraient, si, au dernier moment, la mère rusée et fourbe, ou cette impénétrable Mademoiselle, n'inventeraient pas quelque prétexte pour les retenir. Non qu'il doutât de la tendresse de ses enfants. Mais il les sentait si jeunes, -- Rose seize ans à peine, Nina pas encore douze, -- si faibles toutes deux pour résister à une hostile influence ; d''autant que sorties du couvent depuis le divorce, elles restaient livrées à la mère et à la gouvernante. Son avocat le lui avait bien dit : « La partie n'est pas égale, mon pauvre Régis ; vous n'aurez que deux jours par mois, vous, pour vous faire aimer. » N''importe, avec ses deux jours bien employés, le père se sentait assez fort pour garder le cœur de ses chéries ; mais il les lui fallait, ces deux jours, strictement, sans tricheries, sans mauvais prétextes.
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L'évangéliste d'Alphonse Daudet | MédiaBox
L'évangéliste d'Alphonse Daudet | MédiaBox
Ce roman a souvent été considéré comme le premier, en France, consacré à la religion protestante, depuis le XVIIe siècle.Résumé : Mme Hautmann, épouse d''un banquier, se préoccupe d''évangéliser les milieux difficiles. Après avoir formé des jeunes filles au niveau des institutrices, elle les envoie comme évangélistes dans ces endroits difficiles. Le matin, elles apprennent à lire et à écrire. Le soir, elles organisent des séances d''évangélisation et prêchent. Mme Hautmann est une personne assez fanatique, dénuée de sensibilité et dominatrice. Un vieux pasteur va s''opposer à elle...Extrait : Quand on a vécu vingt ans dans l''administration, on ne s''entend plus guère à faire autre chose, fatigué, banalisé par le ronflant et le vide de l''existence officielle. Personne ne savait mieux que lui tourner une lettre administrative, dans ce style arrondi, incolore, qui a horreur du mot propre, ne doit viser qu''à une chose : parler sans rien dire. Personne ne connaissait plus à fond le formulaire des salutations hiérarchiques, comment on écrit à un président de tribunal, à un évêque, un chef de corps, un « cher ancien camarade » ; et pour tenir haut le drapeau de l''administration en face de la magistrature, son irréconciliable ennemie, et pour la passion du bureau, de la paperasse, fiches, cartons verts, registres à souches, pour les visites d''après-midi à la présidente, à la générale, débiter debout -- le dos à la cheminée, en écartant ses basques -- toutes sortes de phrases enveloppées, jamais compromettantes, de façon à être avec chaleur de l''avis de tout le monde, louer brutalement, contredire avec douceur, le binocle en l'air.
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Le Nabab d'Alphonse Daudet | MédiaBox
Le Nabab d'Alphonse Daudet | MédiaBox
Résumé : Le docteur Jenkins fournit en perles de jouvence le duc de Mora, haut dignitaire du second Empire. Il lui présente Jansoulet, dit le Nabab. De basse extraction, cet aventurier réalisa sa colossale fortune en Tunisie. De nombreux solliciteurs gravitent autour du Nabab, ce qui indigne son secrétaire, l''honnête Paul de Géry... Le duc de Mora fut inspiré à Daudet par le duc de Morny, auprès duquel il travailla.Ce roman nous décrit la «vie parisienne» sous le second empire : affaires, politique...Extrait : 68, rue Saint-Ferdinand, aux Ternes », dit-il en sautant dans sa voiture. Le cocher Joë, scandalisé, fit répéter l''adresse deux fois ; le cheval lui-même eut une petite hésitation comme si la bête de prix, la fraîche livrée se fussent révoltées à l''idée d''une course dans un faubourg aussi lointain, en dehors du cercle restreint mais si brillant où se groupait la clientèle de leur maître. On arriva tout de même, sans encombre, au bout d''une rue provinciale inachevées et à la dernière de ses bâtisses, un immeuble à cinq étages, que la rue semblait avoir envoyé en reconnaissance pour savoir si elle pouvait continuer de ce côté, isolé qu''il était entre des terrains vagues attendant des constructions prochaines ou remplis de matériaux de démolitions, avec des pierres de taille, de vieilles persiennes posées sur le vide, des ais moisis dont les ferrures pendaient, immense ossuaire de tout un quartier abattu.
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La Belle-Nivernaise d'Alphonse Daudet | MédiaBox
La Belle-Nivernaise d'Alphonse Daudet | MédiaBox
La Belle-Nivernaise - Histoire d’un vieux bateau et de son équipage. Suivi de Légendes et récits : Jarjaille chez le bon Dieu - La Figue et le paresseux - Premier habit - Les Trois Messes basses - Le Nouveau maitreExtrait : Sa mère l'avait assis sur une chaise et lui avait dit : « Sois sage. » Depuis, il attendait. Comme il criait la faim, la fruitière d''en face lui avait donné une tartine de confiture. Mais la tartine était finie depuis longtemps, et le marmot avait recommencé à pleurer. Il mourait de peur, le pauvre innocent ! Peur des chiens qui rôdaient autour de lui ; peur de la nuit qui venait ; peur des inconnus qui lui parlaient, et son petit cœur battait à grands coups dans sa poitrine, comme celui d''un oiseau qui va mourir.
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L’homme qui rit de Victor Hugo | MédiaBox
L’homme qui rit de Victor Hugo | MédiaBox
Victor Hugo commence la rédaction de son ouvrage le 21 juillet 1866, à Bruxelles et le termine deux ans plus tard, le 23 août 1868 toujours à Bruxelles3. Mais c'est en exil à Guernesey qu'il en rédige la plus grande partie. L'œuvre se présente sous la forme de quatre volumes vendus chacun 7 francs 50 de l'époque mais un contrat passé avec l''éditeur Lacroix et un certain Panis en modifie la distribution. Au lieu de distribuer les 4 volumes simultanément — ce qui est le souhait de Victor Hugo, celui-ci échelonne la distribution sur trois jours. Le livre est un échec, le public n'est pas au rendez-vous. Victor Hugo lui-même reconnaît son échec qu'il impute d'une part aux spéculations de son éditeur mais aussi à la trop grande ambition de ses objectifs : « J'ai voulu abuser du roman. J'ai voulu en faire une épopée. J'ai voulu forcer le lecteur à penser à chaque ligne. De là une sorte de colère du public contre moi »L'Angleterre a connu, cent quarante ans avant la France, une révolution, un parlement régicide, une république et une restauration fertile en règlements de comptes. Victor Hugo a choisi ce dernier épisode pour brosser un tableau épique de l''aristocratie anglaise à travers la destinée extraordinaire de Gwynplaine, l'Homme qui Rit. A la fois roman d''aventures, exposé historique et social, drame injouable et poème visionnaire, ce roman est le plus fou de tous les romans de Hugo. C'est aussi le plus riche de toutes les obsessions de son auteur. Victor Hugo a choisi ce dernier épisode pour brosser un tableau épique de l'aristocratie anglaise à travers la destinée extraordinaire de Gwynplaine, l'Homme qui Rit. A la fois roman d'aventures, exposé historique et social, drame injouable et poème visionnaire, ce roman est le plus fou de tous les romans de Hugo. C'est aussi le plus riche de toutes les obsessions de son auteur.
L’homme qui rit de Victor Hugo | MédiaBox
Le dernier jour d’un condamné de Victor Hugo | MédiaBox
Le dernier jour d’un condamné de Victor Hugo | MédiaBox
Résumé : À la prison de Bicêtre, un condamné à mort note heure par heure les événements d'une journée dont il apprend qu'elle sera la dernière. Il rappelle les circonstances de la sentence, puis de son emprisonnement et la raison qui le fait écrire, jusqu'au moment où il lui sera physiquement impossible de continuer. Décrivant sa cellule, détaillant la progression de la journée, évoquant d''horribles souvenirs comme le ferrement des forçats, la complainte argotique d'une jeune fille, des rêves, il en arrive au transfert à la Conciergerie.... Hugo ne donne pas son nom, ne dit presque rien sur son passé, ni pourquoi cet homme est emprisonné. Peu importe ! Ce texte est un plaidoyer contre la peine de mort, contre toutes les peines de mort, il n'a pour objet que cette mort qui apparaît dans toute son horreur inouïe et impensable, dans son inhumanité intrinsèque.Victor Hugo rencontre plusieurs fois le spectacle de la guillotine et s’indigne de ce que la société se permet de faire de sang-froid ce qu’elle reproche à l’accusé d’avoir fait. C’est au lendemain d’une traversée de la place de l’Hôtel-de-Ville où le bourreau graissait la guillotine en prévision de l’exécution prévue le soir même que Victor Hugo se lance dans l’écriture du Dernier Jour d’un condamné qu’il achève très rapidement. Le livre est édité en février 1829 par l’éditeur Charles Gosselin mais sans nom d’auteur. Ce n’est que 3 ans plus tard (15 mars 1832) que Victor Hugo complète sa nouvelle par une longue préface qu’il signe de son nom.
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Les travailleurs de la mer de Victor Hugo | MédiaBox
Les travailleurs de la mer de Victor Hugo | MédiaBox
Résumé : Mess Lethierry est propriétaire de la Durande, un steamer coulé par la machination criminelle de son capitaine, le sieur Clubin. Fou de rage à l'idée que le moteur révolutionnaire de son steamer soit définitivement perdu, Lethierry promet sa nièce, Déruchette, à celui qui récupèrera la machine de l'épave coincée entre des rochers au large de Guernesey. Gilliatt, aussi robuste que rêveur, mais surtout épris de Déruchette, accepte le défi. Après maintes péripéties, Gilliatt réussit sa mission mais s''aperçoit à son retour que Déruchette s'est éprise en son absence d''un jeune pasteur (Ebenezer), et que celui-ci l'aime en retour. Gilliatt se sacrifie et s'efface pour le bonheur de la jeune femme. Il se laisse mourir sur un rocher peu à peu submergé par la mer.Le roman est dédié à l'île de Guernesey et à ses habitants : Je dédie ce livre au rocher d'hospitalité et de liberté, à ce coin de vieille terre normande où vit le noble petit peuple de la mer, à l'île de Guernesey, sévère et douce, mon asile actuel, mon tombeau probable. Dans la seconde édition, Victor Hugo adjoint une présentation lumineuse de 80 pages, intitulée l''archipel de la Manche. Au-delà de l'histoire de machination crapuleuse et d'amour, des drames personnels des personnages campés avec une modernité surprenante, il s''agit d'un roman terraqué, emmêlant eau et terre, en quête d'un regard sur les océans, comme d''une ode à la mer.
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Bug-Jargal de Victor Hugo | MédiaBox
Bug-Jargal de Victor Hugo | MédiaBox
En 1818, l'auteur de ce livre avait seize ans et il paria qu'il écrirait un volume en quinze jours. Il fit Bug-Jargal.Résumé : C'est un roman d''aventures décrivant les péripéties de Léopold d'Auvernay, jeune officier de l''armée française, qui part pour Saint-Domingue, colonie française à l'époque, pour retrouver sa promise, fille d''un colon français, et l'épouser. Cependant la veille de son mariage les esclaves, menés par le mystérieux Bug-Jargal, se révoltent contre la domination des colons, et sa future épouse se fait enlever par un esclave, de qui Léopold pensait être l'ami. Commence ensuite pour Léopold une course-poursuite à travers l'île pour retrouver sa bien-aimée et pour assouvir sa vengeance...
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Quatrevingt-Treize de Victor Hugo | MédiaBox
Quatrevingt-Treize de Victor Hugo | MédiaBox
Résumé : Le 28 juin 1793, trois hommes étaient réunis autour d'une table dans cette arrière-chambre. Leurs chaises ne se touchaient pas ; ils étaient assis chacun à un des côtés de la table, laissant vide le quatrième. Il était environ huit heures du soir ; il faisait jour encore dans la rue, mais il faisait nuit dans l'arrière-chambre, et un quinquet accroché au plafond, luxe d'alors, éclairait la table.Quatrevingt-treize est le dernier roman de Victor Hugo. L'ouvrage connaît un succès immédiat : 8 000 exemplaires sont vendus dès les douze premiers jours. Paru en 1874, il a pour toile de fond les plus terribles années de la Révolution française : la Terreur. À l'origine, ce roman devait constituer le dernier volume d'une trilogie romanesque consacrée à la Révolution française, dont L'Homme qui rit constituerait le premier volume, mais Victor Hugo n'a pas mené ce projet jusqu'à son terme. Cette œuvre testamentaire nous prend la main, nous citoyens, et nous rappelle la naissance de notre fragile liberté, de notre fragile égalité et de notre fragile fraternité.
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La bouillie de la comtesse Berthe et autres contes d'Alexandre Dumas | MédiaBox
La bouillie de la comtesse Berthe et autres contes d'Alexandre Dumas | MédiaBox
Résumé : Alexandre Dumas, l'auteur des Trois mousquetaires, du Comte de Monte-Christo, et de nombreux autres romans, a aussi laissé des contes à l'intention des enfants. Il a ainsi publié plusieurs recueils de contes, dont Le Père Gigogne, L'Homme aux contes et Contes pour les grands et les petits enfants.Extrait : Il faut vous dire, mes chers enfants, qu'il y avait autrefois en Allemagne une race de bons petits génies qui malheureusement a disparu depuis, dont le plus grand atteignait à peine six pouces de haut, et qui s''appelaient cobolds. Ces bons petits génies, aussi vieux que le monde, se plaisaient surtout dans les châteaux, dont les propriétaires étaient, selon le cœur de Dieu, bons eux-mêmes. Ils détestaient les méchants, les punissaient par de petites méchancetés à leur taille, tandis qu''au contraire ils protégeaient de tout leur pouvoir, qui s''étendait sur tous les éléments, ceux que leur excellent naturel rapprochait d'eux ; voilà pourquoi ces petits nains, qui, de temps immémorial, habitaient le château de Wistgaw, après avoir connu leurs pères, leurs aïeux et leurs ancêtres, affectionnaient tout particulièrement le comte Osmond, ainsi que la comtesse Berthe, et poussaient avec leur souffle bien loin de leurs domaines bénis le nuage chargé de grêle et d'éclairs
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Contes de ma mère l’Oye de Charles Perrault | MédiaBox
Contes de ma mère l’Oye de Charles Perrault | MédiaBox
Les Contes de ma mère l'Oye est un recueil de huit contes de fées de Charles Perrault paru en 1697, sous le titre Histoires ou contes du temps passé, avec des moralités, avec cet autre titre au dos : Contes de ma mère l'Oye. L'œuvre est devenue un classique de la littérature enfantine, occultant tout le reste de la production littéraire de son auteur. Les Contes de ma mère l'Oye paraissent à une époque où, de façon éphémère, le genre des contes de fées est en vogue chez les adultes des milieux bourgeois et aristocratiques. Mais paradoxalement, aucune œuvre de ce genre n'existe pour les enfants. Seul un fonds de récits est colporté oralement par les nourrices et les bonnes d''enfants venues de la campagne pour travailler dans les villes. Il est aussi un des premiers, sinon le premier, à édulcorer les contes populaires, dont les versions d''origine sont bien plus crues.Extrait : Elle n'eut pas plus tôt pris le fuseau, que comme elle était fort vive, un peu étourdie, et que d'ailleurs l'arrêt des fées l'ordonnait ainsi, elle s'en perça la main, et tomba évanouie. La bonne vieille, bien embarrassée, crie au secours : on vient de tous côtés, on jette de l'eau au visage de la princesse, on la délace, on lui frappe dans les mains, on lui frotte les tempes avec de l'eau de la reine de Hongrie ; mais rien ne la faisait revenir. Alors le roi, qui était monté au bruit, se souvint de la prédiction des fées, et jugeant bien qu'il fallait que cela arrivât, puisque les fées l'avaient dit, fit mettre la princesse dans le plus bel appartement du palais, sur un lit en broderie d'or et d'argent. On eût dit un ange, tant elle était belle ; car son évanouissement n'avait pas ôté les couleurs vives de son teint : ses joues étaient incarnates, et ses lèvres comme du corail ; elle avait seulement les yeux fermés, mais on l'entendait respirer doucement, ce qui faisait voir qu'elle n'était pas morte. Le roi ordonna qu'on la laissât dormir en repos, jusqu'à ce que son heure de se réveiller fût venue.
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La belle rivière de Gustave Aimard | MédiaBox
La belle rivière de Gustave Aimard | MédiaBox
Résumé : Le comte de Jumonville Peu de personnes le savent. Sous Louis XIV et sous Louis XV, la plus grande partie de l’Amérique du Nord appartenait à la France. Dans ces possessions se trouvait le vaste territoire connu aujourd’hui sous la dénomination de Canada, jadis nommé : Nouvelle-France. De nos mains, cette terre si riche passa dans celles des Anglais. L’Angleterre en possède actuellement une minime partie qui constitue une de ses plus riches colonies. Que si l’on cherche une cause sérieuse à cet abandon inintelligent, on n’en trouve pas. Des flots de sang ont été versés. Tant d’hommes illustres s’étaient voués à la colonisation de cette succursale de la mère patrie ! On se croyait près d’arriver à un résultat glorieux et fécond. L’indifférence coupable du gouvernement, l’odieuse jonglerie des Mississipiens, le mot mi-spirituel et antipatriotique de Voltaire, mot qui fut pris à la lettre par le peuple le plus léger de la terre, anéantirent le fruit de si héroïques efforts, de si longs travaux. Ce fut une grande perte pour la France. On se représente encore maintenant le Canada comme un pays de médiocre étendue, stérile, au climat rigoureux, inclément, mortel pour les Européens. On voit toujours ces immenses étendues de terrains, enfouies sous des neiges éternelles, parcourues par des bêtes fauves ou de féroces Indiens. Erreur qui nous a coûté cher. En deux mots, voici la vérité : À l’époque où nous étions les maîtres, la Nouvelle-France formait un triangle dont la base se trouvait au nord de la baie d’Hudson et le sommet dans le golfe du Mexique, au sud de la Nouvelle-Orléans. Or, chaque côté de ce triangle mesure au moins 3500 kilomètres et la superficie totale en est d’environ 1 200 000 kilomètres carrés, superficie onze fois plus considérable que celle de la France actuelle. Le Canada seul compte vingt-cinq mille habitants. Il en pourrait contenir le sextuple. C’est, sans contredit, le pays le plus industrieux et le plus commerçant de l’Amérique du Nord.
La belle rivière de Gustave Aimard | MédiaBox
Jim L'indien de Gustave Aimard | MédiaBox
Jim L'indien de Gustave Aimard | MédiaBox
Extrait : Par une brûlante journée du mois d’août 1862, un petit steamer sillonnait paisiblement les eaux brunes du Minnesota. On pouvait voir entassés, pêle-mêle sur le pont, hommes, femmes, enfants, caisses, malles, paquets, et les mille inutilités indispensables à l’émigrant, au voyageur.Les bordages du paquebot étaient couronnés d’une galerie mouvante de têtes agitées, qui toutes se penchaient curieusement pour mieux voir la contrée nouvelle qu’on allait traverser.Dans cette foule aventureuse il y avait les types les plus variées : le spéculateur froid et calculateur dont les yeux brillaient d’admiration lorsqu’ils rencontraient la grasse prairie au riche aspect, et les splendides forêts bordant le fleuve ; le Français vif et animé ; l’Anglais au visage solennel ; le pensif et flegmatique Allemand ; l’Écossais à la mine résolue, aux vêtements bariolés de jaune ; l’Africain à peau d’ébène, une marchandise de contrebande, comme on dit maintenant ; — tous les éléments d’un monde en miniature s’agitaient dans l’étroit navire, et avec eux, passions, projets, haines, amours, vices et vertus. Sur l’avant se tenaient deux individus paraissant tout particulièrement sensibles aux beautés du glorieux paysage déployé sous leurs yeux...
Jim L'indien de Gustave Aimard | MédiaBox
Coeur-de-Panthère de Gustave Aimard | MédiaBox
Coeur-de-Panthère de Gustave Aimard | MédiaBox
Extrait : L'audacieux espion s'avança donc hardiment, rampant à la manière Indienne, invisible, silencieux, rapide comme un démon de la nuit. Partout la nuit noire ! Au travers d''un volet mal joint, au rez-de-chaussée, s''échappait un mince filet de lumière : deux ou trois clartés tremblotantes se montraient vaguement aux fenêtres de l'étage supérieur. Pas une voix, pas un son ne troublait le morne silence, si ce n''étaient les pleurs lamentables de la pluie ruisselante et le râlement obstiné du vent. Tous dormaient d'un sommeil de plomb, excepté ceux dont le devoir était de veiller ou ceux qui entretenaient les lumières brillant à leurs fenêtres... Et si des yeux étaient éveillés, si un cœur était inquiet, pourquoi ne serait-ce pas ceux de Manonie, de Cœur-de-Panthère ! À ce nom, les muscles de l'Indien se crispèrent dans ses mains brûlantes ; l'heure de la vengeance arrivait enfin !
Coeur-de-Panthère de Gustave Aimard | MédiaBox
Les pieds fourchus de Gustave Aimard | MédiaBox
Les pieds fourchus de Gustave Aimard | MédiaBox
Résumé : Les Nombreuses Superstitions qui régnaient dans la Nouvelle Angleterre, avant la guerre de l'indépendance, ont survécu dans beaucoup de contrées. Malgré le progrès de la civilisation, elles maintiennent leur empire sur l'inculte population des frontières. Si l'on eût consulté l'almanach, le printemps était arrivé; mais on pouvait se croire en plein hiver dans le district du Maine, si l'on regardait les neiges entassées sur les montagnes, les glaces flottant sur les cours des rivières, sur les ondes paisibles des lacs; l'horreur sombre des brouillards serpentait jour et nuit sur les montagnes, l'âpre concert des tempêtes rugissait dans les grands bois, le désert était sillonné par les tourmentes. Au lieu de l''aubépine joyeuse, des fleurs de mai, des jeunes pousses de l'érable à sucre, on voyait partout un blanc manteau de neige: c''était la joie des enfants, qui, peu soucieux de la saison, bâtissaient des maisons fondantes, se lançaient des boules faciles à briser, glissaient, tombaient et se poursuivaient joyeusement, se lançant en l'air leurs chaudes haleines qui formaient de petits nuages éphémères. Cependant, à l'hôtellerie de l'oncle Jerry, nonobstant nuages et tempêtes, se faisaient de merveilleux préparatifs de noces. Tous les voisins du New Hampshire et du Vermont, à quarante milles à la ronde, étaient prévenus qu''on ne pouvait manquer un tel rendez-vous, les sentiers fussent-ils rompus, les passages des montagnes interceptés, les ruisseaux débordés: jamais pareille assemblée n'aurait été vue, depuis l'inauguration de la nouvelle église...
Les pieds fourchus de Gustave Aimard | MédiaBox
Les bohèmes de la Mer de Gustave Aimard | MédiaBox
Les bohèmes de la Mer de Gustave Aimard | MédiaBox
Résumé : Le Saumon couronné Le 17 octobre 1658, entré sept et huit heures du soir, deux hommes étaient attablés dans la grande salle du Saumon couronné, la principale auberge de la ville de Port-de-Paix, rendez-vous ordinaire des aventuriers de toutes nations que la soif de l’or et la haine des Espagnols attiraient dans les Antilles. Ce jour-là, une chaleur torride n’avait cessé de peser sur la ville, de gros nuages jaunâtres chargés d’électricité s’étaient étendus d’un bout à l’autre de l’horizon, sans qu’un souffle d’air vînt, même au coucher du soleil, rafraîchir la terre pâmée de chaleur. On entendait de sourds murmures qui, s’échappant du sein des mornes, roulaient répercutés par les échos avec les éclats stridents d’un tonnerre lointain. La mer, noire comme de l’encre, agitée par quelque commotion souterraine, se soulevait en vagues houleuses et venait lourdement se briser contre les rochers de la plage avec des plaintes sinistres. Tout enfin présageait un ouragan prochain.
Les bohèmes de la Mer de Gustave Aimard | MédiaBox
La loi de Lynch de Gustave Aimard | MédiaBox
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Résumé: Le Jacal. Vers les trois heures du soir un cavalier revêtu du costume mexicain, suivait au galop les bords d’une rivière perdue, affluent du Rio Gila, dont les capricieux méandres lui faisaient faite des détours sans nombre. Cet homme, tout en ayant constamment la main sur ses armes et l’œil au guet afin d’être prêt à tout événement, excitait son cheval du geste et de la voix, comme s’il eût eu hâte d’atteindre le but de ...
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Le chercheur de pistes de Gustave Aimard | MédiaBox
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Extrait : Depuis que les Américains des États-Unis ont révélé au monde, en s'emparant de la moitié du Mexique, où tend leur ambition, les habitants de ce beau pays sont un peu sortis de la torpeur dans laquelle ils se complaisaient et ont tenté de grands efforts pour coloniser leurs provinces et appeler sur leur sol, si riche et si fécond, des hommes intelligents, travailleurs et industrieux, qui pussent changer la face des choses et faire régner l'abondance et la richesse partout où, avant eux, ne se trouvaient que ruines, désolation, incurie et misère. Malheureusement, les nobles efforts tentés jusqu'à ce jour sont, par une fatalité incompréhensible, restés sans résultat, soit à cause de l''apathie naturelle des habitants, soit par la faute du gouvernement mexicain lui-même. Cependant de grands propriétaires, comprenant toute l'opportunité de la mesure proposée et combien il était de leur intérêt de combattre l''influence mortelle, pour leur nationalité, des invasions américaines, se sont généreusement dévoués à la réalisation de cette grande question d''économie sociale qui, malheureusement, devient de plus en plus irréalisable.
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L'Aigle-Noir des Dacotahs de Gustave Aimard | MédiaBox
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Extrait : La civilisation est animée d'une force immense qui la pousse à une expansion sans limite ; comme la vapeur impatiente que soulève une ardente flamme, elle est toujours en ébullition, prête à se répandre hors des limites connues. La civilisation est le mouvement perpétuel de l'humanité, toujours à la recherche de l'infini. Mais, sur son passage, elle laisse des traces, souvent misérables ou sanglantes, -- épaves ballottées sur l''Océan du destin ; -- elle détruit en créant ; elle fait des ruines en consolidant son édifice ; elle engloutit quiconque veut lutter avec elle. Il y a deux siècles à peine, des peuplades appelées Sauvages, -- pourquoi sauvages ?... -- pro­menaient dans les forêts vierges du Nouveau-Monde leur libre indolence, leur liberté solitaire, leur ignorance insouciante du reste de l'univers. La civilisation s'est abattue sur ces régions heureuses, comme une avalanche, elle a balayé devant elle les bois, leurs hôtes errants, -- Indiens, buffles, gazelles ou léopards ; -- elle a supprimé le désert et ses profonds mystères ; elle a tout absorbé.
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Le commandant Delgrès de Gustave Aimard | MédiaBox
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Extrait : L'homme perdu dans ces solitudes peut être considéré comme mort~; jamais il ne parviendra à en sortir ; les murailles mouvantes dont il est entouré lui forment un vert linceul qui l'enveloppe de toutes parts et dont il lui est impossible de soulever le poids, pourtant si léger en apparence, mais si lourd en réalité ; tous ses efforts pour sortir des réseaux immenses qui l'enlacent ne font qu''en resserrer davantage les flexibles anneaux ; ses forces s''épuisent dans une lutte insensée, il chancelle, veut résister encore, tombe et ne se relève plus ; c'en est fait ; la mort implacable étend vers lui sa main de squelette, et lui, ce vivant, si plein de jeunesse, de sève, de courage, de volonté, il est vaincu ; il se couche haletant et succombe dans d'horribles souffrances, au milieu de cette luxuriante et puissante végétation qui semble lui sourire railleusement, à quelques pas à peine du but qu'il voulait atteindre, sans se douter que, pendant de longues heures, il a vainement consumé toute son énergie à tourner toujours dans le même cercle, sans avancer d''un pas vers la délivrance.
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