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Le Fomidable Événement de Maurice Leblanc
Le Fomidable Événement de Maurice Leblanc
Résumé : Simon Dubosc désespère d'obtenir la main d'Isabel, fille du hautain Lord Bakefield, descendant direct d'un compagnon de Guillaume le Conquérant. Il faudrait pour cela bien plus que ses indéniables qualités sportives : accomplir quelque exploit qui le rendrait digne de cette lignée d'aïeux. La nature elle-même va venir à son secours... en soulevant les quelques lieues de mer qui séparent Douvres de Calais ! Formidable événement qui, bouleversant les relations millénaires de l'Angle-terre et du continent, précipitera Simon Dubosc au milieu des pilleurs d'épaves accourus par milliers, dans une aventure chevaleresque où se déchaînent la fantastique imagination et l'irrésistible fantaisie du père d'Arsène Lupin. Dans les années 1920, un soulèvement géologique cataclysmique fait remonter le sol de la Manche, créant un isthme aussi soudain qu'imprévu entre la France et l'Angleterre. Mais qu'est devenue Isabel, la fiancée de Simon Dubosc, partie en mer juste avant le drame ? Isabel, dont le lord de père refuse à ce roturier de Simon la main de sa fille, sauf à accomplir en 20 jours un exploit d'envergure. Or les humeurs tectoniques ont fait apparaître une terre sans nation et sans loi, une Prairie de varech qui aurait terrifié Fenimore Cooper... En un tournemain, cette terre encore humide des abysses devient celle de lugubres oiseaux de proie ; dans des carcasses d'épaves suintantes se déroulent des scènes de cauchemar dont aurait pu s'inspirer Mad Max... Mais face aux passions les plus sinistres, les passions les plus nobles sont aussi à l'oeuvre...
Le Fomidable Événement de Maurice Leblanc
La Cagliostro se venge de Maurice Leblanc
La Cagliostro se venge de Maurice Leblanc
Résumé : Dans une banque, un monsieur myope compte des liasses de billets. Un monsieur qui voit bien clair l’observe avec l’intérêt qu’éveille chez lui toute jolie somme passant à sa portée, car ce second monsieur se nomme Raoul d’Averny, alias Arsène Lupin. Il décide d’appliquer sa méthode, c’est-à-dire filer le bonhomme jusqu’à son domicile et s’implanter dans les parages pour repérer les lieux avant d’agir. Mais la poursuite de ce magot va entraîner Arsène Lupin beaucoup plus loin qu’il ne le soupçonne, dans un drame où l’amour se double de haine, où la vengeance côtoie les ténèbres.
La Cagliostro se venge de Maurice Leblanc
Victor, de la Brigade mondaine de Maurice Lupin
Victor, de la Brigade mondaine de Maurice Lupin
Résumé : Avant le vol des bons de la Défense nationale et les assassinats qui suivirent, la renommée de Victor, de la Brigade mondaine, n'excédait pas le cercle restreint de ses chefs et de ses collègues.Il fallut pour le mettre en évidence, qu'apparût brusquement en face de lui cet extraordinaire, ce formidable personnage d'Arsène Lupin, qui allait donner à cette ténébreuse affaire sa signification et son intérêt spécial. Les qualités déjà remarquables du vieil inspecteur furent portées à leur paroxysme par le prodigieux adversaire que lui opposaient les circonstances.C'est leur lutte sournoise, ardente, implacable, poursuivie dans l'ombre d'abord, puis en pleine clarté, que nous raconte Victor, de la Brigade mondaine.
Victor, de la Brigade mondaine de Maurice Lupin
La Femme aux deux sourires de Maurice Leblanc
La Femme aux deux sourires de Maurice Leblanc
Résumé : "Antonine ?… Clara ?… laquelle de ces deux figures constituait la véritable personnalité de l’être charmant qu’il avait rencontré ? Elle avait à la fois le sourire le plus franc et le plus mystérieux, le regard le plus candide et les yeux les plus voluptueux, l’aspect le plus ingénu et l’air le plus inquiétant. "Arsène Lupin, dit Raoul, résout, bien sûr, le premier, une ténébreuse affaire de meurtre, et avec quelle maestria ! Amoureux, il risque sa vie. Ingénieux, il s’échappe alors qu’il est cerné par la police ou les truands. Insolent, il joue des tours aux deux.Le gentleman-cambrioleur est au mieux de sa forme pour notre plus grand bonheur.
La Femme aux deux sourires de Maurice Leblanc
L'Agence Barnett et Cie de Maurice Leblanc
L'Agence Barnett et Cie de Maurice Leblanc
Résumé : Les enquêtes de l’inspecteur Béchoux piétinaient. Surgit un détective privé, de l’agence Barnett et Cie, qui, en un clin d’œil, démasque le coupable, sauve les innocents… et tout cela gratuitement ! Arsène Lupin, il n’y a que lui pour réussir ces exploits, oublierait de se payer, resterait insensible aux jolies choses ? Charité bien ordonnée commence par soi-même. Lupin sait mieux que personne où trouver l’argent et les objets de valeur, un fabuleux collier de perles, une lettre d’amour du roi George iv, une lettre de chantage, un titre de propriété… Espiègle et généreux, d’une adresse et d’une intuition diaboliques, Arsène Lupin nous séduit encore dans ces huit aventures criminelles où le méchant est toujours puni et Barnett toujours enrichi !
L'Agence Barnett et Cie de Maurice Leblanc
L'homme à la peau de bique de Maurice Leblanc
L'homme à la peau de bique de Maurice Leblanc
Résumé : Dans ces deux brefs récits, parus en 1927 et 1930, le créateur d'Arsène Lupin donne toute la mesure de son inépuisable inventivité et de son exceptionnel talent de conteur. L'Homme à la peau de bique est un hommage à Edgar Poe. Reprenant le thème d'une des plus célèbres nouvelles de l'écrivain américain, Double assassinat dans la rue Morgue, il parvient à le renouveler de façon imprévue, non sans conjuguer à chaque ligne l'horreur et l'humour. Dans Le Cabochon d'émeraude, les ressorts de l'intrigue sont uniquement psychologiques. Et c'est un véritable lapsus freudien que met en scène le romancier, avec une finesse de touche et une ironie discrète qui évoquent certaines des plus belles pages de Mérimée.
L'homme à la peau de bique de Maurice Leblanc
La demoiselle aux yeux verts de Maurice Leblanc
La demoiselle aux yeux verts de Maurice Leblanc
Résumé: «Demoiselle aux yeux verts, vous êtes ma captive désormais, se dit Raoul de Limézy, alias Arsène Lupin. Complice d’assassin, d’escroc et de maître chanteur, meurtrière vous-même, jeune fille du monde, artiste d’opérette, pensionnaire de couvent… Qui que vous soyez, vous ne me glisserez plus entre les doigts. La confiance est une prison d’où l’on ne peut s’évader et, si fort que vous m’en vouliez d’avoir pris vos lèvres, vous avez confiance au fond du cœur en celui qui ne se lasse pas de vous sauver, et qui se trouve toujours là quand vous êtes au bord de l’abîme.»
La demoiselle aux yeux verts de Maurice Leblanc
Les plaisirs et les jours de Marcel Proust
Les plaisirs et les jours de Marcel Proust
Résumé : Le vicomte de Sylvanie, dans La mort de Baldassare Silvande, philosophe sur le sens de la vie à travers son neveu, un adolescent en qui la vie est encore à naitre, à construire, alors que lui, sérieusement affecté par la maladie, voit sa vie s'enfoncer dans l'abime.
Les plaisirs et les jours de Marcel Proust
A l'ombre des jeunes filles en fleurs de Marcel Proust
A l'ombre des jeunes filles en fleurs de Marcel Proust
Résumé : À l'ombre des jeunes filles en fleurs est le second tome d'À la recherche du temps perdu de Marcel Proust publié en 1919 chez Gallimard. Il reçoit la même année le prix Goncourt. Extrait : Cette importance illusoire de M. Bloch père était d'ailleurs étendue un peu au delà du cercle de sa propre perception. D'abord ses enfants le considéraient comme un homme supérieur. Les enfants ont toujours une tendance soit à déprécier, soit à exalter leurs parents, et pour un bon fils, son père est toujours le meilleur des pères, en dehors même de toutes raisons objectives de l'admirer. Or celles-ci ne manquaient pas absolument pour M. Bloch, lequel était instruit, fin, affectueux pour les siens. Dans la famille la plus proche, on se plaisait d'autant plus avec lui que si dans la « société », on juge les gens d'après un étalon, d'ailleurs absurde, et selon des règles fausses mais fixes, par comparaison avec la totalité des autres gens élégants, en revanche dans le morcellement de la vie bourgeoise, les dîners, les soirées de famille tournent autour de personnes qu'on déclare agréables, amusantes, et qui dans le monde ne tiendraient pas l'affiche deux soirs. Enfin, dans ce milieu où les grandeurs factices de l'aristocratie n'existent pas, on les remplace par des distinctions plus folles encore. C'est ainsi que pour sa famille et jusqu'à un degré de parenté fort éloigné, une prétendue ressemblance dans la façon de porter la moustache et dans le haut du nez faisait qu'on appelait M. Bloch un « faux duc d'Aumale ». (Dans le monde des « chasseurs » de cercle, l'un porte sa casquette de travers et sa vareuse très serrée de manière à se donner l'air, croit-il, d'un officier étranger, n'est-il pas une manière de personnage pour ses camarades ?)
A l'ombre des jeunes filles en fleurs de Marcel Proust
Le Côté de Guermantes de Marcel Proust
Le Côté de Guermantes de Marcel Proust
Résumé : Le Côté de Guermantes est le troisième tome d'À la recherche du temps perdu de Marcel Proust publié entre 1921 et 1922 chez Gallimard. Dans son édition originelle, le roman est divisé en deux tomes dont la deuxième partie, Le côté de Guermantes I, est suivie de Le Côté de Guermantes II. Extrait : Elle venait de voir entrer son mari, et par les mots qu'elle prononçait, faisait allusion au comique d'avoir l'air de faire ensemble une visite de noces, nullement aux rapports souvent difficiles qui existaient entre elle et cet énorme gaillard vieillissant, mais qui menait toujours une vie de jeune homme. Promenant sur le grand nombre de personnes qui entouraient la table à thé les regards affables, malicieux et un peu éblouis par les rayons du soleil couchant, de ses petites prunelles rondes et exactement logées dans l'œil comme les « mouches » que savait viser et atteindre si parfaitement l'excellent tireur qu'il était, le duc s'avançait avec une lenteur émerveillée et prudente comme si, intimidé par une si brillante assemblée, il eût craint de marcher sur les robes et de déranger les conversations. Un sourire permanent de bon roi d'Yvetot légèrement pompette, une main à demi dépliée flottant, comme l'aileron d'un requin, à côté de sa poitrine, et qu'il laissait presser indistinctement par ses vieux amis et par les inconnus qu'on lui présentait, lui permettaient, sans avoir à faire un seul geste ni à interrompre sa tournée débonnaire, fainéante et royale, de satisfaire à l'empressement de tous, en murmurant seulement : « Bonsoir, mon bon », « bonsoir mon cher ami », « charmé monsieur Bloch », « bonsoir Argencourt », et près de moi, qui fus le plus favorisé quand il eut entendu mon nom : « Bonsoir, mon petit voisin, comment va votre père ? Quel brave homme ! » Il ne fit de grandes démonstrations que pour Mme de Villeparisis, qui lui dit bonjour d'un signe de tête en sortant une main de son petit tablier.
Le Côté de Guermantes de Marcel Proust
Albertine Disparue de Marcel Proust
Albertine Disparue de Marcel Proust
Résumé : Albertine Disparue, dont le titre original est La fugitive, est le sixième tome d'À la recherche du temps perdu de Marcel Proust paru en 1927 à titre posthume. la Fugitive devait originairement regrouper la Prisonnière et Albertine disparue. De fait, Albertine disparue est la suite indissociable, sur le plan narratif au moins, de la Prisonnière. Extrait : Mademoiselle Albertine est partie ! Comme la souffrance va plus loin en psychologie que la psychologie ! Il y a un instant, en train de m'analyser, j'avais cru que cette séparation sans s'être revus était justement ce que je désirais, et comparant la médiocrité des plaisirs que me donnait Albertine à la richesse des désirs qu'elle me privait de réaliser, je m'étais trouvé subtil, j'avais conclu que je ne voulais plus la voir, que je ne l'aimais plus. Mais ces mots : « Mademoiselle Albertine est partie » venaient de produire dans mon cœur une souffrance telle que je ne pourrais pas y résister plus longtemps. Ainsi ce que j'avais cru n'être rien pour moi, c'était tout simplement toute ma vie. Comme on s'ignore ! Il fallait faire cesser immédiatement ma souffrance. Tendre pour moi-même comme ma mère pour ma grand'mère mourante, je me disais, avec cette même bonne volonté qu'on a de ne pas laisser souffrir ce qu'on aime : « Aie une seconde de patience, on va te trouver un remède, sois tranquille, on ne va pas te laisser souffrir comme cela. » Ce fut dans cet ordre d'idées que mon instinct de conservation chercha pour les mettre sur ma blessure ouverte les premiers calmants : « Tout cela n'a aucune importance parce que je vais la faire revenir tout de suite. Je vais examiner les moyens, mais de toute façon elle sera ici ce soir. Par conséquent inutile de se tracasser. » « Tout cela n'a aucune importance », je ne m'étais pas contenté de me le dire, j'avais tâché d'en donner l'impression à Françoise en ne laissant pas paraître devant elle ma souffrance, parce que, même au moment où je l'éprouvais avec une telle violence, mon amour n'oubliait pas qu'il lui importait de sembler un amour heureux, un amour partagé, surtout aux yeux de Françoise qui, n'aimant pas Albertine, avait toujours douté de sa sincérité. Oui, tout à l'heure, avant l'arrivée de Françoise, j'avais cru que je n'aimais plus Albertine, j'avais cru ne rien laisser de côté ; en exact analyste, j'avais cru bien connaître le fond de mon cœur. Mais notre intelligence, si grande soit-elle, ne peut apercevoir les éléments qui le composent et qui restent insoupçonnés tant que, de l'état volatil où ils subsistent la plupart du temps, un phénomène capable de les isoler ne leur a pas fait subir un commencement de solidification. Je m'étais trompé en croyant voir clair dans mon cœur.
Albertine Disparue de Marcel Proust
La Galerie du Palais de Pierre de Corneille
La Galerie du Palais de Pierre de Corneille
Résumé : Comédie : Dorimant aime Hippolite, qui aime Lisandre, qui aime Célidée, qui hésite entre Dorimant et Lisandre. Aussi Célidée décide-t-elle, à la stupéfaction d'Hippolite, d'éprouver son amant par quelques froideurs. Désespoir de Lisandre. Son écuyer, Aronte, gagné à la cause d'Hippolite, lui suggère de feindre d'aimer ailleurs pour éveiller la jalousie de Célidée...
La Galerie du Palais de Pierre de Corneille
Horace de Pierre Corneille
Horace de Pierre Corneille
Résumé : Le jeune Horace est marié à Sabine, jeune fille albaine dont le frère Curiace est fiancé à Camille, sœur d'Horace. La guerre fratricide qui éclate entre les deux villes rompt cette harmonie. Pour en finir, chaque ville désigne trois champions qui se battront en combat singulier pour décider qui devra l'emporte
Horace de Pierre Corneille
Cinna de Pierre Corneille
Cinna de Pierre Corneille
Résumé : Emilie, fille de Toranius que l’empereur romain Auguste a fait exécuter, exige de Cinna, qui l’aime, de la venger pour pouvoir l’épouser. Cinna fomente alors, avec son ami Maxime, un complot pour assassiner l’empereur. Or Auguste, las du pouvoir, hésite à abdiquer, et demande conseil à Cinna et Maxime. Cinna l’incite à rester, pour pouvoir satisfaire l’exigence d’Emilie. Auguste se montre généreux envers ses conseillers. Il s’en suit une série de dilemmes : Cinna est tiraillé entre son amour et sa fidélité à l’empereur ; Maxime, qui aime aussi Emilie, entre son amour pour elle et son amitié pour Cinna ; Auguste entre la sévérité et la clémence.
Cinna de Pierre Corneille
L'avare de Molière
L'avare de Molière
Résumé : Harpagon, riche vieillard, fait subir à toute sa maisonnée sa passion aveugle et tyrannique pour l’argent. Son avarice fait obstacle aux projets amoureux de ses enfants, le pousse à soupçonner ses proches et donne envie à ses serviteurs de le tromper. Quand il apprend que son fils est son rival auprès de la belle Mariane et qu’une cassette pleine d’or lui a été dérobée, sa fureur est à son comble et frappe de stupeur tout son entourage… Un comédie grinçante aux accents de tragédie
L'avare de Molière
Les femmes savantes de Molière
Les femmes savantes de Molière
Résumé : Philaminte reçoit régulièrement dans son salon le poète Trissotin, et Vadius, qui passe pour savant aux yeux de la maitresse de maison, de sa fille ainée Armande, et de sa belle-sœur Bélise. Le pédantisme et la stupidité de cette assemblée de « beaux esprits » font un premier ressort du comique de la pièce. Henriette, la fille cadette, ne partage pas le goût de sa sœur et de sa mère pour les « sciences » et les subtilités de langage. Elle voudrait bien épouser Clitandre, mais on veut lui imposer Trissotin. Le père de famille est incapable d’imposer quoi que ce soit à sa femme, et se ridiculise en ne voulant pas l’admettre. C’est son frère Ariste qui parviendra, par une ruse, à éviter ce mariage.
Les femmes savantes de Molière
Le Bourgeois Gentihomme de Molière
Le Bourgeois Gentihomme de Molière
Résumé : Bourgeois d'origine modeste mais fier d'être devenu riche, M. Jourdain entend acquérir les manières des gens de qualité. Il décide de commander un nouvel habit plus conforme à sa nouvelle condition et se lance dans l'apprentissage des armes, de la danse, de la musique et de la philosophie, autant de choses qui lui paraissent indispensables à sa condition de gentilhomme. Il courtise Dorimène, une marquise veuve, amenée sous son toit par son amant, un comte autoritaire, qui entend bien profiter de la naïveté de M. Jourdain et de Dorimène. Sa femme et Nicole, sa servante, se moquent de lui, puis s'inquiètent de le voir aussi envieux, et tentent de le ramener à la réalité du prochain mariage de sa fille Lucile avec Cléonte. Mais ce dernier n'étant pas gentilhomme, M. Jourdain refuse cette union. Cléonte décide alors d'entrer dans le jeu des rêves de noblesse de M. Jourdain et, avec l'aide de son valet Covielle, il se fait passer pour le fils du Grand Turc. Il obtient ainsi le consentement de M. Jourdain, qui se croit parvenu à la plus haute noblesse après avoir été promu « Mamamouchi » lors d'une cérémonie turque burlesque organisée par les complices de Covielle.
Le Bourgeois Gentihomme de Molière
L'Ecole des femmes de Molière
L'Ecole des femmes de Molière
Résumé : En 1662, Molière crée la surprise avec L'École des femmes. Pourtant, le sujet de cette comédie n'est pas neuf : par crainte d'être cocu, un homme, Arnolphe, fait élever une jeune fille, Agnès, selon ses principes. Il pense ainsi en faire une femme à son goût. En vain... À travers cette pièce, Molière pose la question de la place des femmes dans la société et de leur éducation.
L'Ecole des femmes de Molière
Le Tartuffe de Molière
Le Tartuffe de Molière
Résumé : L'histoire tourne autour d'Orgon, un homme crédule, qui accueille Tartuffe, un faux dévot hypocrite, dans sa maison malgré les avertissements de sa famille. Orgon devient obsédé par Tartuffe au point de lui promettre la main de sa fille Mariane, malgré son amour pour Valère
Le Tartuffe de Molière
Orgueil et préjugés de Jane Austen
Orgueil et préjugés de Jane Austen
Résumé : En Angleterre, dans la société provinciale guindée, fière de ses privilèges et de son rang social, Mrs. Bennett, mère de cinq filles, veut à tout prix les marier... Elle n'hésite pas à faire la cour à son nouveau voisin, Mr. Bingley, jeune homme riche qu'elle aurait aimé donner comme époux à sa fille aînée Jane. S'ébauche une idylle entre Jane et Mr. Bingley, qui pourrait bien aboutir à un mariage. Elisabeth, soeur cadette de Jane, se réjouit de cet amour naissant. Mais c'est sans compter le dédain et la méfiance de l'ami intime de Bingley, Mr. Darcy qui, n'appréciant pas les manières de Mrs. Bennett et de ses filles, empêche Bingley de se prononcer. Elisabeth de tempérament fort et franc, consciente de la valeur et du mérite de son milieu, affronte Mr. Darcy... Extrait : Mr. Bingley, lui, avait eu vite fait de se mettre en rapport avec les personnes les plus en vue de l'assemblée. Il se montra ouvert, plein d'entrain, prit part à toutes les danses, déplora de voir le bal se terminer de si bonne heure, et parla d'en donner un lui-même à Netherfield. Des manières si parfaites se recommandent d'elles-mêmes. Quel contraste avec son ami !... Mr. Darcy dansa seulement une fois avec Mrs. Hurst et une fois avec miss Bingley. Il passa le reste du temps à se promener dans la salle, n'adressant la parole qu'aux personnes de son groupe et refusant de se laisser présenter aux autres. Aussi fut-il vite jugé. C'était l'homme le plus désagréable et le plus hautain que la terre eût jamais porté, et l'on espérait bien qu'il ne reparaîtrait à aucune autre réunion.
Orgueil et préjugés de Jane Austen
Mansfield Park de Jane Austen
Mansfield Park de Jane Austen
Résumé : Sans richesse ni éducation, la jeune Fanny Price n'a rien pour séduire la bonne société anglaise. Pourtant, dans la faste demeure de Mansfield Park où l'a recueillie son oncle, il lui faut faire bonne figure. Entre frustrations et vexations, que sera-t-elle prête à sacrifier pour être acceptée dans le monde enjôleur de ses cousins ? Roman d'apprentissage précurseur, Mansfield Park est le plus surprenant des romans de Jane Austen. Extrait : J’étais tellement étonnée de voir l’affaire d’Etat que c’était ! Désirer un cheval et une charrette à la campagne semblait une chose extraordinaire ! Aussi, je demandais à ma femme de chambre de s’en occuper directement, et comme je ne pouvais sortir de mon vestiaire sans voir une ferme, ni marcher dans la plantation sans passer devant une autre, je pensais qu’il suffirait de les demander pour les avoir et je n’avais que l’embarras du choix. Vous devinez ma surprise, quand je découvris que j’avais demandé la chose la moins raisonnable, la plus impossible, et que j’avais offensé tous les fermiers, tous les laboureurs par ma demande. Quant au secrétaire du Dr. Grant, je croyais plus prudent de ne pas être sur son chemin, et mon beau-frère lui-même, qui en général est la bonté même, me regardait d’un air sombre depuis qu’il avait appris ce que j’avais osé demander.
Mansfield Park de Jane Austen
Emma de Jane Austen
Emma de Jane Austen
Résumé : Emma vit avec son père, un vieil homme veuf et malade. Elle est belle intelligente et riche. Avec le mariage de sa gouvernante qui la quitte, Emma décide de s'occuper du mariage de nombre de ses relations. Sûre d'elle, elle est persuadée d'avoir les talents pour cette activité. Mais son inexpérience de l'amour et des gens, ses propres erreurs de jugement sur ses émotions amoureuses, lui valent bien des surprises et déceptions. Ce roman décrivant la vie et les moeurs des jeunes femmes provinciales de la classe moyenne est souvent considéré comme le roman le plus abouti de Jane Austen. Extrait : Elle se demanda comment elle supporterait ce changement ? Malgré tous ses avantages personnels et sa situation, elle allait se trouver isolée intellectuellement ; son père en effet ne pouvait la suivre sur le terrain d'une conversation sérieuse ou enjouée ; la grande disproportion de leurs âges (M. Woodhouse ne s'était pas marié jeune) se trouvait augmentée par la suite de la constitution et des habitudes de ce dernier ; dénué d'activité physique et morale, il paraissait plus vieux qu'il ne l'était ; tout le monde l'aimait pour la bonté de son cœur et son aimable caractère, mais en aucun temps il n'avait brillé par son esprit.
Emma de Jane Austen
Catherine Morland / L'abbaye de Northanger de Jane Austen
Catherine Morland / L'abbaye de Northanger de Jane Austen
Résumé : Écrit en 1803, Catherine Morland (Northanger Abbey) est le premier roman de Jane Austen, même s'il n'a été publié qu'en 1818, un an après sa mort. La jeune et naïve Catherine Morland est invitée par des voisins de ses parents à passer quelques semaines à Bath. Là, elle se lie d'amitié avec la jeune et inconstante Isabelle Thorpe et son frère, le présomptuteux John qui se pose rapidement en prétendant de Catherine. Elle y rencontre également Henry Tilney et sa charmante soeur Eléonore. Catherine n'est pas insensible au charme de Henry. Aussi, quand le père d'Henry invite Catherine à passer quelques jours dans sa maison, elle est au comble du bonheur. D'autant plus que Catherine, très imprégnée par ses lectures de romans gothiques alors très à la mode, apprend que la demeure de M. Tilney est une ancienne abbaye: Northanger Abbey... Extrait : Qui connaît Bath se souvient de la difficulté qu'il y a à traverser Cheap Street en cet endroit : c'est en vérité une rue si revêche et si gauchement reliée aux grandes voies de Londres et d'Oxford et au principal hôtel de la ville, qu'à tout moment des dames -- pour importantes que soient leurs affaires, qu'elles soient en quête de pâtisseries, de fanfreluches ou (comme dans le cas actuel) de jeunes gens -- sont immobilisées par les équipages, les cavaliers et les charrettes. Ce désagrément, Isabelle l'avait éprouvé et déploré au moins trois fois par jour depuis qu'elle séjournait à Bath, et elle était destinée à l'éprouver et à le déplorer une fois de plus, car, juste au moment d'arriver en face de l'Union Passage et en vue des deux messieurs qui fendaient la foule, le chemin leur fut intercepté par un cabriolet qu'un conducteur forcené précipitait sur le pavé cahotant avec une véhémence de nature à abréger leurs destins, à lui, à son compagnon et à son cheval.
Catherine Morland / L'abbaye de Northanger de Jane Austen
Donjon de Naheulbeuk : le livre dont vous êtes le héros (la foire de Rav
Donjon de Naheulbeuk : le livre dont vous êtes le héros (la foire de Rav
Résumé : Un scénario pour un joueur de niveau 1 à 3 - environ 1H20 de jeu - Ce scénario, sous forme d'enquête-balade à Valtordu, est construit comme un livre dont vous êtes le héros. Il fonctionne avec les règles "allégées" du JDR Naheulbeuk. Vous n'aurez donc qu'à faire vos choix, suivre les indications, passer les épreuves et résoudre les combats. Bonne aventure ! Le PDF présenté contient une fiche présentative du jeu et le livre-jeu. Vous devrez ajouter des dés et de quoi prendre des notes pour jouer à ce jeu.
Donjon de Naheulbeuk : le livre dont vous êtes le héros (la foire de Rav
Athalie de Jean Racine
Athalie de Jean Racine
Extrait : Oui, ma juste fureur, et j'en fais vanité, A vengé mes Parents sur ma postérité. J'aurais vu massacrer et mon Père, et mon Frère, Du haut de son Palais précipiter ma Mère, Et dans un même jour égorger à la fois, Quel spectacle d'horreur! quatre-vingts fils de Rois ? Et pourquoi ? Pour venger je ne sais quels Prophètes, Dont elle avait puni les fureurs indiscrètes. Et moi, Reine sans coeur, Fille sans amitié, Esclave d'une lâche et frivole pitié, je n'aurais pas du moins à cette aveugle rage Rendu meurtre pour meurtre, outrage pour outrage, Et de votre David traité tous les neveux, Comme on traitait d'Achab les restes malheureux ? Où serais-je aujourd'hui, si domptant ma faiblesse je n'eusse d'une Mère étouffé la tendresse, Si de mon propre sang ma main versant des flots N'eût par ce coup hardi réprimé vos complots ? Enfin de votre Dieu l'implacable vengeance Entre nos deux Maisons rompit toute alliance. David m'est en horreur, et les fils de ce Roi Quoique nés de mon sang, sont étrangers pour moi.
Athalie de Jean Racine
Esther de Jean Racine
Esther de Jean Racine
Résumé : La pièce raconte comment Esther, épouse d'Assuérus, obtient de son époux la grâce de son peuple et de son oncle Mardochée, malgré les complots du redoutable ministre Aman.
Esther de Jean Racine
Bajazet de Jean Racine
Bajazet de Jean Racine
Résumé : Lorsque, en 1672, Racine donne Bajazet, il a déjà derrière lui le triomphe d'Andromaque, puis de Britannicus et de Bérénice.Délaissant l'Antiquité classique pour le sérail de Constantinople, il s'inspire d'un épisode contemporain relaté par l'ambassadeur de France auprès du " Grand Seigneur " : l'exécution par le sultan Murat IV (Amurat) de son jeune frère Bajazet. De cette rencontre entre le génie racinien et l'ambiance féroce et étouffante du sérail naît une comédie sombre, sanglante, où la candeur et la perversité, la cruauté et la séduction, l'absolu du Pouvoir et les faiblesses du désir se mêlent inextricablement, faisant tour à tour de chaque personnage le bourreau et la victime.Une préface détaillée explore la genèse et les résonances de la pièce, oeuvre d'un génie dramatique parvenu à sa pleine maturité et premier grand témoignage de la fascination croissante qu'exercera l'Orient sur la littérature française.
Bajazet de Jean Racine
Berenice de Jean Racine
Berenice de Jean Racine
Résumé : Bérénice appartient à l'histoire romaine et orientale. Son action est sans violence, son dénouement n'est pas dicté par la passion. Ce n'en est pas moins une tragédie : un personnel de princes et de rois fait son malheur en une série de discours réglés.C'est le personnage le plus dépendant, le moins libre, qui donne son nom à la pièce ; Titus, qui congédie la femme qu'il aime, fait sans cesse un effort douloureux sur lui-même, jusqu'au transport d'héroïsme final. Le sujet de la pièce est le renvoi de Bérénice, qui ne fait aucun doute : il est dicté par la tradition romaine. L'action se réduit à retracer les souffrances que cette nécessité entraîne : tout l'art de Racine, ici, est dans le suspens, dans le retard, dans l'attente de l'aveu et de l'adieu.
Berenice de Jean Racine
Iphigenie de Jean Racine
Iphigenie de Jean Racine
Résumé : Iphigénie est innocente et vertueuse ; c'est pourtant elle que son père doit se résoudre à sacrifier. Iphigénie incarne la douceur et la tendresse ; c'est pourtant elle qui est au centre du déchaînement des fureurs familiales. Iphigénie exalte le dévouement et l'abnégation jusqu'au sublime ; c'est pourtant elle qui subit les lâchetés et les excès dévastateurs. Tels sont les tragiques paradoxes d'Iphigénie, où l'oracle divin ne semble rien d'autre que le révélateur des passions des hommes.
Iphigenie de Jean Racine