Canton de Berne: Suite à une faille de sécurité dans un système informatique: plusieurs personnes prévenues identifiées et perquisitions effectuées
Suite à une faille de sécurité, l’été dernier, dans l’application «MobileIron», également utilisée par la Police cantonale bernoise, des données d’utilisatrices et d’utilisateurs avaient manifestement pu être téléchargées et consultées. Une enquête a permis d’identifier plusieurs personnes prévenues. De plus amples investigations sont en cours.
Un centre opérationnel de sécurité (SOC) est essentiel pour la surveillance continue des cybermenaces et être en mesure de répondre rapidement à un incident. La ville de Nyon a lancé
In the heart of International Geneva, a diverse ecosystem thrives, housing 38 international organizations (IOs), 432 non-governmental organizations (NGOs), and several hundred associations active at an international level, all united by a shared mission: to make the world a place of peace and justice. NGOs are the unsung heroes, addressing armed conflicts, natural disasters, and humanitarian crises, championing human rights, and advancing the Sustainable Development Goals (SDGs). Like many other organizations, NGOs heavily rely on technology, which is critical for projecting their activities globally in real time. Yet, in today’s digital landscape, this reality brings its own set of challenges.
Le Conseil fédéral clarifie les tâches de l’Office fédéral de la cybersécurité
Le Conseil fédéral a précisé les tâches qui vont incomber, dès le 1er janvier 2024, aux nouvelles unités administratives impliquées dans le domaine de la cybersécurité. L’Office fédéral de la cybersécurité (OFCS) reprendra «dans les grandes lignes» les tâches de l’actuel NCSC. Une nouvelle entité, le Secrétariat d’Etat à la politique de sécurité (SEPOS), sera compétente en matière de politique de sécurité et de sécurité de l’information.
Les Suisses préoccupés par leur cybersécurité même s'ils sont rarement touchés
Peu de Suisses sont victimes de cyberattaques. Ils sont conscients des risques sur internet et estiment prendre suffisamment de mesures de protection pour se sentir en sécurité en surfant sur le web, selon une nouvelle étude mandatée par Digitalswitzerland et des organisations partenaires.
La loi actuelle sur la protection des données est directement applicable à l’IA
En Suisse aussi, l’intelligence artificielle (IA) investit de plus en plus la vie économique et sociale de la population. Dans ce contexte, le PFPDT rappelle que la loi sur la protection des données en vigueur depuis le 1er septembre 2023 est directement applicable aux traitements de données basés sur l’IA.
La nLPD est directement applicable à l’intelligence artificielle
Selon le Préposé fédéral à la protection des données (PFPDT), la nouvelle loi sur la protection des données en vigueur depuis septembre s'applique également aux outils d'intelligence artificielle. Le traitement des données des utilisateurs doit être signalé, même s'il est effectué par une IA.
Les sanctions américaines et l'assurance cyberattaque
L'assureur qui veut s'opposer au paiement de la prestation d’assurance suite à une cyberattaque, en invoquant les sanctions américaines, doit prouver que la cyberattaque a servi les intérêts d'une entité visée par ces sanctions et qu'il risque ainsi concrètement d'être réprimandé par l'autorité américaine compétente. Le simple fait que le type de logiciel utilisé pour la cyberattaque en question soit habituellement déployé par un groupe de cyberpirates sous sanction (in casu Evil Corp) ne suffit pas pour refuser le paiement de la prestation d’assurance.
Analyse d’impact relative à la protection des données personnelles: comment faire?
La nouvelle loi sur la protection des données a introduit l’obligation d’établir, dans certains cas, une analyse d’impact relative à la protection des données personnelles (AIPD). Elle vise à identifier préalablement les risques potentiellement élevés pour la personnalité et les droits fondamentaux, afin de prendre les mesures adéquates pour les réduire à un niveau acceptable. Si l’exercice peut faire peur, il suffit de suivre quelques étapes très concrètes.
Les polices vaudoises hésitent à numériser l’ensemble de leurs activités avec Xplain - rts.ch - Vaud
L'un des projets informatiques les plus importants des polices vaudoises est la victime collatérale d’une importante fuite de données, survenue chez la société Xplain, son principal partenaire, a appris le pôle enquête de la RTS. La collaboration avec cette entreprise bernoise est aujourd’hui sur la sellette.
Argent russe: la place financière suisse rattrapée par une fuite de données
Un ancien ministre de Vladimir Poutine et la famille du patron d'une entreprise publique russe, impliquée dans l'effort de guerre, se retrouvent dans les données inédites repérées par la RTS. Des liens avec la place financière suisse sont mis en lumière. Ces révélations proviennent des documents confidentiels de la société de gestion de fortune zurichoise Finaport. Tout commence en janvier 2023 lorsque l'entreprise, sponsor officiel de l'Open de tennis de Zoug, est victime d'un piratage, comme le révélait le site Watson.
TikTok : une analyse technique helvétique des risques de sécurité
Suite aux interdictions d’utilisation de TikTok à du personnel de l’UE, le nouvel Institut national suisse pour les tests de cybersécurité a publié les résultats de ses tests techniques sur l’application, recommandant de considérer son utilisation avec précaution.
Xplain: les données de procédures pénales en cours sont sur le darknet
Suite à l’attaque contre le prestataire Xplain, des données sensibles issues des enquêtes du Parquet fédéral sont sur le dark web, selon les d'investigation du quotidien Le Temps. Une procédure de mise à jour d’un logiciel de Fedpol ne se serait pas déroulée comme le prévoit un protocole pourtant mis en place.
Genève: Un élu a farfouillé sans droit dans les fichiers de la justice
Le conseiller administratif d’une petite commune a été condamné pour violation du secret de fonction. Il avait utilisé son emploi au Pouvoir judiciaire pour se renseigner au sujet d’une plainte pénale.
Des pirates informatiques s'emparent des données de 2800 policiers bernois
Une faille de sécurité dans une application utilisée par la police bernoise a entraîné une importante fuite de données. Des pirates ont pu s'emparer de l'identité et des numéros de téléphone de l'ensemble des 2800 employés de la police cantonale.
La réputation de la Suisse est ternie et sa souveraineté menacée par le piratage de Xplain, prestataire informatique pour divers services de sécurité, notamment de la police fédérale. Les leçons systémiques de cette débâcle doivent être tirées, au-delà des responsabilités individuelles