Externalités négatives
Longue enquête en plusieurs épisodes sur la pollution du web par des sites genAI, qui peuvent plagier et publier en 20 minutes un contenu produit par un vrai journaliste. Ces sites produisent à la chaîne des dizaines de plagiats par jour.
Ils sont très bien repris par Google News, Discover et les moteurs de recherche (https://next.ink/154914/google-actualites-est-truffe-darticles-plagies-par-des-ia/) et plagient aussi la PQR (https://next.ink/158809/la-presse-regionale-est-elle-aussi-cannibalisee-par-des-sites-dinfos-generes-par-ia/)
L'utilisation de GenAI est prisée à l'extrême droite, où l'on a même le directeur pédagogique d'une école de journalisme qui assume (https://next.ink/162296/le-directeur-pedagogique-dune-ecole-de-journalisme-genere-ses-articles-par-ia/)
Next propose un guide pratique pour détecter ces sites (https://next.ink/165310/comment-reconnaitre-les-sites-dinfos-generes-par-des-ia/), une extension navigateur pour être alerté quand on arrive sur l'un deux, et un guide pour identifier les faux-positifs (https://next.ink/172262/faux-positifs-comment-reconnaitre-les-contenus-identifies-a-tort-comme-generes-par-ia/)
MÀJ : À l'opposé de tout ça, Google restreint sévèrement l'usage de l'AI pour faire des publicités en ligne... sa source principale de revenus (https://next.ink/171952/google-penalise-les-publicites-generees-par-ia-mais-pas-les-medias-generes-par-ia/).
Les IA génératives citent régulièrement des bibliothèques de code qui n'existent pas vraiment. Des pirates en profitent pour créer des malwares qui portent le nom de ces bibliothèques fictives.
C'est généralisable : l'IA hallucine une fausse information, et quelqu'un génère du contenu qui correspond à cette hallucination pour la légitimer a posteriori et donner l'impression qu'elle était vraie au départ